Mes postes RP

The Big Admin Messages : 1995 Date d'inscription : 08/03/2009 Age : 29

Titre : BONNIE & DJIMEO - Walking In The Sun ....

La lumière du jour a traversé mes volets. Je me suis levée, réveillée par cette lumière éblouissante. Comme tous les jours, j'ai pris mon petit-déjeuner. Du lait, du pain-confiture et un jus d'orange. Quoi de mieux pour être en forme ?! Je me suis débarbouillée pour être à peu près présentable. J'ai décidé d'aller faire un petit tour vers la plage et, quand j'ai décidé j'y vais. Mon maillot par-dessous une robe bleue marine, je me suis mise à fouiller dans mon sac pour vérifier que je n'avais rien oublié. J'ai alors pris le chemin du sable doux ...

Fairview est une magnifique ville. J'y pense toujours quand je passe devant les immenses parcs, les bâtiments richement décorés et les bars branchés, toujours avec la mer derrière, si proche et si inaccessible à la fois. Je regarde devant moi alors que mes jambes sont encore lourdes puisque le réveil a été un peu brutal. Je rêvasse un peu, passe mes mains sur les fleurs d'un balcon. Je ne connais pas les gens qui habitent ici mais je pense que ça ne va pas les déranger. Je reprends mon chemin à travers les petits ruelles. J'ai l'impression que je connais cette ville par coeur. Je ne veus rien de plus que le soleil sur mes cheveux. Je passe devant un glacier ambulant et je découvre l'eau bleue si belle sous ce soleil de plomb. Il faut beau mademoiselle ! C'est le glacier qui m'accoste. Je lui réponds amicalement : Oui, j'espère en profiter cette fois-ci. N'oubliez pas, si vous avez chaud, j'ai un stock de glace rien que pour vous. J'y penserais, merci. Je préfère me détourner de lui. Je ne sais pas mais je trouve qu'il a l'air un peu sale, peut-être alcoolique à ses heures perdues. La plage est bien matinale aujourd'hui. Je regarde les quelques personnes qui sont déjà là : une femme avec ses deux enfants en tain de faire un château de sable, une petite bande de cinq amis (je crois qu'il y a trois garçons et deux filles) et un monsieur âgé venu tremper les pieds. Je tourne rapidement la tête sur le bord de plage. Les commerçants commencent à s'installer. J’aperçois au loin un garçon, plutôt un jeune homme. Je le connais mais d'où ? Quand ? J'attends qu'il se rapproche un peu pour le voir de plus près. Ah oui ! Je me rappelle de son prénom. Il commence par un B ... non un D ... Djimeo ! Mais c'est bien Djimeo ! J'attends qu'il se rapproche et lui fait un signe de la main ...

The Big Admin Messages : 1995 Date d'inscription : 08/03/2009 Age : 29

Ben voilà j'ai besoin de ton aide pour le personnage de Meredith (parce que c'est toi qui l'a créé ^^).

J'aimerais en faire une fille "amoureuse" (je le mets entre parenthèse parce que c'est un sentiment qu'elle n'a jamais exploré et donc elle ne sait pas reconnaître si elle est amoureuse ou non). Elle n'est pas en couple mais on va dire intriguée par un garçon. Déjà est-ce que ça te gènes ? Parce que tu avais mis qu'elle était célibataire (mais comme j'aime faire souffrir mes persos ...

Après j'aurais deux idées pour le fameux mec en question mais je n'arrive pas à choisir entre les deux (pour plus de facilité, le mec s’appellera x) :

Idée n°1 : X est reconnu dans son milieu (cinéma, musique, mode ? ... à définir mais ce n'est pas le plus important)

The Big Admin Messages : 1995 Date d'inscription : 08/03/2009 Age : 29

NOX LONGA ERIT

J'avais dit oui comme ça, sans vraiment réfléchir aux conséquence. Ce que je faisais, je le faisais parce que je savais que les personnes visées étaient des plus mauvaises et que si la cité en était débarrassé, personne ne viendrait les pleurer. Le ciel était couvert et cette soirée de liberté se déroulait comme à son habitude. Pourtant sous mon sourir de femme sage se cachait la vraie raison de ma sortie. Il y a quelques jours, j'ai rencontré un homme de la cité très bien sur lui mais dont le métier me faisait trembler. Les riches patriciens font appel à lui pour leur rendre service. Par service, on peut penser beaucoup de choses mais moi je pense que le pire des services est de donner la mort. A cause des secrets bien enfouis des populations aisées de la cité, la ville ne compte plus ses morts. Et moi la petite prostituée de Julia Félix, je sers d’appât à ses messieurs bien trop pressés à assouvir leurs pulsions avant leur mort.

Ce soir-là, les rues étaient vides et le vent se frottait sur mon visage. C'est bizarre de voir ce lieux désert. En journée, le marché est plein et on peut y croiser toute sorte de personne. C'est là que j'y ai fait la plupart de mes rencontres. Etant enfermée toute la journée dans ce lupanar sordide, la confiance que me donne Madame Félix pour faire ses achats au marché est une aubaine pour moi. Le froid commençait à s’installer à Pompéi et ma couverture ne sera bientôt pas assez épaisse pour me protéger. Le froid s'ajoutait à mon angoisse, une angoisse qui ne m'avait pas quittée de puis deux jours. Je me sentais trop faible pour faire ce que j'allais accomplir ce soir mais je savais que je le faisais pour le bien de la communauté. Les romains ne sont pas tous des salauds, j'ai pu le constater par moi-même, mais les anges ne sont pas encore sur terre. Le sang ne tâche pas que l'arène et les combats ne se font pas que par les armes. Certains n'hésite pas à trahir leurs amis et leurs familles pour devenir la personne la plus puissante de la cité. Moi je fais partie de ceux d'en-bas, ceux que l'on délaisse et que l'on utilise que pour le plaisir des grands. Mais ceux d'en-bas ne sont pas aussi innocents que l'on pense.

Je vois un homme en face de moi. Les nuages sont bien bas et la brume ne permet pas de l'examiner. Il est d'ailleurs sombrement habillé, ce qui n'arrange rien. Je ne le reconnais pas sous sa cape. Ses yeux sont dissimulés sous le tissus épais et moi je m'avance sans crainte, prête à le servir. Il est posé à côté d'une colonne de la place du marché. Mon cœur palpite à l'idée de me jeter dans la fosse aux lions. Maintenant je ne peux plus reculer, je le sais, je l'accepte et je fonce tête baissé à la rencontre de l'inconnu pas si inconnu que ça pour moi. Je ne fais pas de grands signes pour ne pas le perturber mais en arrivant devant lui, je lui lance un timide : Bonsoir. C'est moi, Philaé. Je n'ose pas dire plus. Je ne sais pas quoi dire dans ces cas-là. J'apprendrais bien avec le temps. J'attends un petit peu, je préfère attendre. Je veux qu'il soit le premier à parler. Je suis assez pressée d'en finir pour ce soir. Ne prenant que mon courage à deux mains, j'enchaîne : Que dois-je faire ce soir ? Qui ? Comment ? Où ?

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

The Big Admin Messages : 1995 Date d'inscription : 08/03/2009 Age : 29

J'aime beaucoup les enquêtes de satisfactions donc je vais répondre à la votre ^^

1. Les points faibles du forum. J'ai rien là comme ça.
2. Les points forts du forum. L'ambiance/la forte activité de ses membres sinon le contexte bien encré dans une période précise mais qui laisse place à l'imagination et aux relations persos inventés/persos réels.
3. Quelque chose que nous devons absolument modifier ? Non !
4. Quelque chose que nous ne devons pas changer ? Les admins !! Vous faites du bon travail sur ce forum :canard:
5. Est-ce-que l'intégration sur TTB se fait facilement? Très facilement !
6. Avez-vous assez de demandes de liens/de rps ? Oui après je ne peux pas satisfaire tout le monde dans la minute qui suit mais c'est bon ^^
7. Votre avis sur la chat box de TTB ? J'y suis jamais allée pour l'instant.
8. Votre avis sur le flood de TTB ?J'aimerais bien une sections spéciale pour parler de l'histoire (surtout celle qui entoure le contexte du forum) mais sinon c'est très bien !
9. Votre avis sur nos évents, vous en pensez quoi ? Cohérent ? Trop court ? Pas assez d'action? Pas assez varier ? Je les trouve courts mais c'est plus pratique pour moi et je trouve que ça permet du renouvellement assez vite. Sinon j'aimerais bien des events par groupe (peut-être pas tout le temps)
10. Votre avis sur les animations que nous organisons sur TTB ? Est-ce-qu'elles vous conviennent ?
11. Doit-on varier les animations ? Si oui, souhaitez vous des animations en particulier ? (RP express...)
12. Les animations/évent/mini-évent sont-ils trop nombreux ? Doit-on ralentir la cadence ?
13. Y'a-t-il des choses de l'actuel codage que vous vous voudriez voir rester ? Des choses que vous ne supportez plus dans le codage de TTB ?
14. Des couleurs pour le design que vous aimeriez voir sur TTB ?
15. Pensez-vous que le staff est suffisamment à votre écoute ? Dans nos façons de faire, est-ce-que vous voyez quelque chose à changer ?
16. Est-ce-que la navigation sur le forum se fait facilement ? Trouvez-vous les sujets que vous recherchez facilement ? Ou êtes-vous totalement perdus ?
17. Avez-vous besoin de plus d'annexes pour comprendre la vie en 1554 ou pas ?
18. Comment souhaitez-vous être prévenus des nouveautés ? Sujet ? MP ? Flood ? Trouvez vous que vous êtes suffisamment au courant de ce qu'il se passe sur le forum?
19. Si nous faisions un recrutement, est-ce-que vous postuleriez ?
20. Est-ce que vous vous sentez bien sur TTB ?

The Big Admin Messages : 1995 Date d'inscription : 08/03/2009 Age : 29

L'odeur est un sens très précieux qui me mettait toujours en émois. Les senteurs exotiques et romantiques de la parfumerie ne pouvaient que m'enchanter. Je décidais d'y aller, comme ça, sur un coup de tête. Je me surpris à me demander moi-même pourquoi je choisissais ce magasin si particulier pour flâner. Les temps de révoltes populaires et d'exécutions sommaires me faisaient froid dans le dos. Il me fallait du divertissement, de la beauté, du charme, quelque chose de plus doux et délicat. Quoi de plus doux et délicat que le parfum d'une rose non ? Devant mon miroir, je me mis à rêver à l'odeur de la rose puis me vint à l'esprit des dizaines, voir des centaines d'odeurs. La parfumerie, voilà l'endroit dont j'avais besoin, l'endroit où je pourrais me détendre l'esprit.

Il y avait fort longtemps que je ne m'étais pas apprêtée de la sorte pour sortir. J'avais eu une soudaine envie de me faire belle. Pour qui ? Personne, juste pour moi. Et ainsi le laideron devint princesse. Sous les ravages du dépaysement et du négligé, ma beauté se révélait comme au premier jour. Il faudrait que je fasse plus attention à moi. Quoi de plus beau dans la vie d'un homme que le visage d'une belle femme au réveil. Le soleil pointa son nez, je pointai le bout de mon pied dehors. La ville était animée aujourd'hui. Les pas secouaient les pavés et l'eau ruisselait à travers les fenêtres. Je me laissais envoûter par la petite brise du matin. Les temps noirs me paraissaient si loin et si proche à la fois. Je ne me sentais pas bien dans ce pays. Je ne m'y sentais pas chez moi. Quand je suis arrivée, je ne me doutais pas qu'il y avait autant de problèmes monarchiques et moi, en bonne naïve je pense, je ne voulais pas m'y intéresser. Mais les gens voulaient tous me rallier à leur cause alors qu'à moi seule je ne pouvais régler le problème. Mon amant serait furieux que je le trompe politiquement avec toute la population londonienne.

En arrivant dans la petite boutique, j'eu l'impression de revivre un souvenir fort de mon enfance. Ma mère n’emmenait souvent dans son jardin pour me faire sentir les belles fleurs. Tous ces moments passés avec elle revenaient à la surface. Je me sentais comme prisonnière de ce souvenir, lorsque j'entendis mon nom résonné dans la boutique. En me retournant, je découvris Miss Sheridan, accompagné d'une charmante jeune femme que je ne connaissais pas encore. Oh Miss Sheridan, vous ici ! Je fus très étonnée de la voir puisque la dernière fois, je l'avais rencontré à un funèbre spectacle, l'exécution de Jane Grey. Je ne préférais pas me rappeler ce spectacle. J'appris alors que la jeune femme avec elle s'appelait Annabeth Blackwood et était sa dame de compagnie. Avec toutes les fois où je me suis rendue chez elle, je n'avais jamais rencontré Miss Blackwood. Très belle femme d'ailleurs. Enchantée Miss Blackwood ! Je ne savais pas que Miss Sheridan avait une très belle dame de compagnie. Di dove ... Désolée ... D'où venez vous très chère ? J'avais trouvé des personnes avec lesquelles je pouvais parler de parfums à l'infinie. Cette journée était vraiment un don du ciel. Ces odeurs me rappellent mon enfance à Roma. Donc je n'appelle pas ça des nouveautés.

Je me sentais comme subjuguée par l'odeur qui régnait dans la boutique. Trop de parfums différents, mal mélangés et qui donnait une odeur inqualifiable qui représentait tout et rien à la fois. Pourtant à cet instant je ne pensais qu'à cette rencontre, qui me faisait tant plaisir. C'est grâce à Miss Sheridan que j'ai appris la plupart des choses sur ce pays, mon amant étant bien trop occupé à d'autres œuvres politiques. J'avais l'impression de devoir des choses à cette femme qui ne demandait rien, ce qui rendait nos rencontres très belles. Puis cette femme était très cultivée, ce qui n’impressionnait. Je dois encore réfléchir parfois avant de parler mais maintenant mon langage se fait de plus en plus précis en anglais. Chez nous, on aime les odeurs. Surtout celles qui sont naturelles. Ma mère collectionnait ces petits flacons de parfum. Je trouve que le parfum rend belle la femme qui le porte. Qu'en pensez-vous ? Trouvez-vous cela futile ? Je ne parlais que des bons souvenirs lorsque j'évoquais l'Italie. Je n'osais pas dire que mon mari était avide de pouvoir et me délaissait pour acquérir de plus en plus de frontières. Je n'osais pas parler de mes enfants, ceux que j'ai laissé sans mère à leur chevet. Je me demande chaque jour comment ils vont mais je ne peux pas écrire, on me retrouverait facilement. Alors je parlais de choses futiles, sans importance, tout en sachant que tôt ou tard, je viendrais dans cette boutique pour chercher du poison et non du parfum.

The Big Admin Messages : 1995 Date d'inscription : 08/03/2009 Age : 29

Une tête de reine roulant sur le sol piteux de la place devant la Tour de Londres, voici un spectacle que je n'avais jamais vu et que l'on ne fait pas dans notre pays. Le plus tragique n'est pas la mort pour moi mais le fait que ce soit tout un peuple qui condamne une reine. Les derniers de cette reine déchue résonnaient dans ma tête. J’imaginais très bien ce qui pourrais m'arriver à moi, ainsi qu'à mon mari. Surtout à mon mari. C'est lui qui, envahie par son désir de pouvoir, a organisé un coup d'état et a réussi à se hisser à la tête du duché de Parme et de Plaisance. Il ne fallait pas y penser. Ici je suis protégée de la foudre de mon mari. Personne ne se doute ne serait-ce qu'un instant que je suis là dans la foule, moi la duchesse, moi la femme à la tête du plus grand duché d'Italie. Je savais les temps dures dans ce pays mais je ne pensais pas que cela se finirait comme ça. Et si malheureusement ce n'était que le commencement ?

J'eu la soudaine impression que l'on m'appelait. Cela me fit sortir de mes pensées. Qui pourrait me reconnaître dans cette foule de sujets plus irascibles les uns que les autres. Je préférais me terrer que de répondre mais en tournant la tête je m’aperçus que la personne qui m'appelait était Miss Sheridan. La vue de cette femme me rassura. Je préférai la rejoindre. Je me sentais en sécurité avec elle, surtout dans des moments de tension comme celui-là. Je me faufilai entre les cris et les mains levées. Bonjour Miss Sherdian. Mais qu'est-ce qui se passe ici ? Je ne comprends pas tous ces mécontentements envers cette femme ? Je comprenais un peu en fait mais lors de nos rencontre Miss Sheridan ne m'avais jamais parlé d'un tel climat dans son pays. Le moment où la reine parla me fit trembler. De peur, de complaisance, je n'en savais rien.